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Bibliothèque- Musée de la Grande Loge Nationale Française. Inv. F3-224.
Verre blanc gravé, pied carré, début XXe siècle. Inscription gravée : «Br. A. Maier». Musée belge de la Franc- Maçonnerie. Inv. AM6856. Le socle particulièrement épais permet de frapper la table en reposant le verre après une santé, le bruit provoqué ressemble à celui du canon (origine militaire du banquet).
Verre blanc gravé, pied carré, début XXe siècle. Inscription gravée : «Br. A. Maier». Musée belge de la Franc- Maçonnerie. Inv. AM6856. Le socle particulièrement épais permet de frapper la table en reposant le verre après une santé, le bruit provoqué ressemble à celui du canon (origine militaire du banquet).
Verre gravé et dépoli. XIXe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (coll. GODF). Inv. F3-86.
Verre gravé et dépoli, fin XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (coll. GODF). Verres particulièrement épais avec un riche symbolisme. On distingue entre autres le cénotaphe d'Hiram le Maître Architecte assassiné, le dais au-dessus du siège du Vénérable de la loge, ou trône de Salomon, et quantité de symboles relevant de divers grades. Ces éléments et la dédicace au «C.F. (cher frère ?) Merker» sur les facettes du pied semblent désigner une origine française.
Bibliothèque-Musée de la Grande Loge Nationale Française. Inv. F3-227.
Verre de couleur gravé et rehaussé de dorure, pied à facettes, début XIXe siècle. Inscription gravée : «Br. M. 1906». Musée belge de la Franc- Maçonnerie. Inv. AM6855.
Verre gravé et dépoli, début du XIXe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie ( coll. GODF ). Inv. F3-82.
Verre gravé et doré, XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie ( Coll. GODF ). Inv. F3-71.
Pièce rare de facture française présentant une belle composition symbolique. La couleur provient de la quantité de plomb présente dans la pâte lors de la fusion. L'usage de «tirer les santés» est en pratique en France dès le XVIIIe siècle.
Verre «Kanon» à décors maçonniques. 5,5x14 cm. Cristal de Bohème gravé, fin XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F3-33.
Belle pièce en cristal jaune ambré à pied et jambe octogonaux et facettes biseautées, ayant appartenu à la collection Baylot. Le calice présente un ensemble de médaillons gravés de symboles: lune (avec sept étoiles) et soleil, étoile de David dite aussi clavicule de Salomon au G, marteau et truelle, équerre et compas. Dans un plus grand médaillon central, les deux colonnes maçonniques sur une base encadrent un autel à trois niveaux.
Verre gravé et dépoli, XIXe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F3-85.
Cette coupe avec ses dimensions impressionnantes est déjà en cela une pièce rituelle pleine d'intérêt. Elle reprend en outre les principaux éléments du symbolisme maçonnique, surtout avec ses particularités anglaises : les trois chandeliers, «l'arche royale» avec ses trois croix de Tau, la lune aux sept étoiles, l'équerre et le compas présentés sur le Livre, une échelle, etc...
Faïence de Bordeaux à bords godronnés. Circa 1790. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F1-22.
La loge militaire du Régiment de l' Aquitaine devient la «Loge Française de l'Unité» en 1790. C'est sans doute à cette occasion qu'elle a fait exécuter un service à ses initiales, dont quelques pièces sont parvenues jusqu'à nous.
Faïence de Nevers. Deuxième tiers du XVIII° siècle. Musée de la Franc- Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F1-21. La composition centrale de cette polychromie de grand feu est celle du sceau de la première loge nivernaise : «Les Amis à l'Epreuve». La devise:«Fiducia Fratres Fecit» est une belle profession de foi morale: la confiance fait les frères.
Faïence de Moustiers, fin XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F1-10.
Assiette en camaïeu bleu à rehauts au marli caractéristique des productions du site, exécutée dans le cadre de la commande par la loge d'un service.
Faïence de Moustiers, circa 1780. Musée de la Franc-Maçonnerie ( Coll. GODF ). Inv. F1-12.
Le service «aux 25 symboles» est l'ensemble le plus important et prestigieux connu de pièces de feu à décors maçonniques du XVIIIe siècle. Après en avoir donné la paternité à Joseph Fouque, on l'attribue aujourd'hui à Jean-Gaspard Féraud, qui appartenait comme lui à la loge «Les Indissolubles». Pas moins de huit faïenciers et cinq fabricants sur douze étaient membres de cette loge. Le décor expose sur un mode qui se veut quasi exhaustif, le registre iconographique maçonnique en disposant dans l'espace, d'une façon assez ordonnée mais sans associations précises, les 25 symboles.
Faïence d'origine incertaine : Sud Ouest, La Forest? À bords godronnés, milieu XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F1-7.
L'imagerie de cette pièce rare ayant appartenu à un service dont il existe aussi une assiette, si elle est sans conteste maçonnique, reste empreinte d'un certain mystère: s'agit-il de reconstruire le Temple, dont il ne reste que les deux colonnes, avec les outils présentés à terre en désordre? La composition d'ensemble est belle par la couleur et les quatre décors fleuris sur le marli.
Faïence de Moustiers, fin XVIII° siècle. Musée de la Franc- Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F2-94. Cette belle pièce de forme à l'émail clair, légèrement velouté et aux décors composés de couleurs riches et douces est d'une qualité remarquable. L'artiste a représenté dans cette grande œuvre moustérienne un large registre iconographique. Tout d'abord sur le pourtour du bassin: un soleil, une truelle, une lune, un acacia, une étoile flamboyante au G, un nœud emblématique et sa houppe, une équerre-compas et un poignard. Sur le couvercle les colonnes J et B et deux lacs d'amour encadrant le tumulus à l'acacia et un nœud de Salomon. Sur l'autre face un cénotaphe aux luminaires placé « entre l'équerre et le compas ». Exactement comme se dit d'être le Maître quand il est perdu selon les rituels de cette époque. Le tout est présenté avec une règle graduée et les pierres : brute et taillée. Enfin une étoile rayonnante à cinq branches au G et un delta radieux portant un tétragramme décorent chaque extrémité. Ce «légumier» est identique dans son style, mais non dans son imagerie, à deux pièces similaires existantes à Londres et à Vienne en France. On peut imaginer les frères mangeant et échangeant en même temps sur le symbolisme.
Faïence polychrome de grand feu. Musée de la Grande Loge de France. Inv. MAB 2393-85.
Faïence anglaise, XIXe siècle. Musée de la Grande Loge de France. Inv. en cours.
Porcelaine «Compagnie des Indes». Fin XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie (Coll. GODF). Inv. F2-93.
Ces bols à punch en fine porcelaine furent commandés en Extrême-Orient. Ils étaient très prisés pour la qualité de leur exécution et la délicatesse de leurs coloris. Celui-ci avec son bleu nuit, ses bordures intactes et son joli symbolisme, traditionnel des compositions maçonniques de l'époque, est remarquable de conservation.
Faïence de Moustiers, circa 1780. Musée de la Grande Loge de France. Inv. MAB 2623/86.
Anse 5 cm. Porcelaine « Compagnie des Indes », anse torsadée, fin XVIIIe siècle. Musée de la Franc-Maçonnerie ( Coll. GODF ). Inv. F2-94.
Meissen, circa 1750. Collection particulière. Couvercle en argent représentant un militaire, l'intérieur du couvercle montre une vue de la ville de Brisach. Abondante décoration polychrome peinte à la main, représentant e.a. Les armoiries de la Grande Loge. Incrustations en argent et or, base sertie d'argent. Poinçon non identifié sur la charnière du couvercle.